J’aime le hurlement du vironsussi le soir au fond des bois
Vironsussi, le très attendu ([Par qui ?], comme dirait Wikipédia) livre-CD du Fond du Tiroir, est enfin disponible. Je le tiens entre mes mains et il me réjouit le coeur. Je sens mon poil qui pousse, mes canines qui enflent, mes oreilles qui s’effilent, mes ongles qui pointent. Je ne détaille pas le reste, mais bref tout grandit. J’ai une de ces envies de hurler à la lune, moi. Par surprise, l’ouvrage nait revêtu d’une tout autre couleur que celles envisagées précédemment. Alors ? Alors ? Il ressemble à quoi, finalement ? Suspense !
Les souscripteurs découvriront son teint incessamment, en recevant leur exemplaire dans leur boîte aux lettres. Vous avez encore allez disons deux trois jours quatre maxi pour profiter de la promo de souscription (nous vous faisons grâce des frais de port, téléchargez le bon ici) et recevoir votre exemplaire avant Noël. Après quoi, certes il vous sera toujours loisible de commander le luxueux objet, mais en passant par le bon de commande du Fond du Tiroir.
Pour fêter dignement ce considérable événement littéraire et musical, Télérama, le magazine préféré des bobos, a décidé de consacrer sa une à un portrait du co-auteur et compositeur de cette œuvre épouvantable, j’ai nommé M. Olivier Destéphany. Remarquons que Télérama a tellement de flair que la couverture du journal reproduite ci-dessus, sur laquelle Olivier souffle dans son trombone, date de juin 1991. C’est beau, c’est même beau-beau, d’être à ce point en avance sur son temps.
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