Accueil > En cours > Le blues de la fin de l’Occident

Le blues de la fin de l’Occident

« The electric house » (1922) avec Christine « Virginia Fox » Prato et Jean « Buster Keaton » Avezou

Navré pour les ombrageux déclinistes égarés (déjà que leur vie n’est pas marrante) qui, au petit malheur, auraient cliqué ici avec une joie masochiste, alléchés par un titre racoleur promettant une énième diatribe bien sentie sur l’agonie du monde occidental et de ses valeurs… Rien à voir : Le blues de la fin de l’Occident n’est qu’une traduction sauvage et non remboursable de West End Blues de Louis Armstrong (1928). Amis déclinistes, faites-vous du bien, écoutez plutôt de la musique de nègres !

J’ai bien l’honneur d’être l’invité de Christine Prato et Jean Avezou pour l’émission Quézaco sur Radio Campus Grenoble, où l’on échange des mots et où l’on se demande ce qu’ils peuvent bien vouloir dire.
Moyen le plus classe d’avoir des mots avec quelqu’un.
D’ailleurs, preuve infaillible de classe : le générique de l’émission est West End Blues de Louis Armstrong (1928).

Le résultat, Quézaco#8, Fabrice Vigne, est disponible en peau-de-casque.
Le Fond du Tiroir ira chercher votre tympan par la peau du casque.

Vous noterez, ou pas, que l’émission a beau avoir été enregistrée juste avant l’élection au Brésil, nous réussissons à glisser dans la conversation « Lula Presidente » .

Vous noterez également, ou pas, que je risque à nouveau de me faire enguirlander par Marie Mazille puisque je persiste dans mon erreur, en suggérant au micro que le stage d’écriture de chansons que nous animons ensemble pour Mydriase s’adresse principalement aux pros et aux semi-pros. Alors qu’il s’adresse aux amateurs au sens le plus noble du terme. Pardon Marie, ça m’a échappé, je ne le ferai plus. Ou pas. Et toi, là, l’amateur au sens le plus noble du terme, inscris-toi à notre stage, il reste des places !

  1. Pas encore de commentaire
  1. Pas encore de trackbacks

*