L’Échoppe : fermeture définitive
L’opération S.U.M. Pack est close. Une douzaine de packs ayant été écoulée, je n’hésite pas à parler de triomphe, puisque j’espérais, téméraire, parvenir à dix. Merci douze fois, grâce à vous douze la sortie du prochain livre sera un tout petit peu moins compliquée (très-très compliquée seulement, au lieu d’insurmontable). Et spécial double-merci à Marie S., qui a poussé le mécénat et l’élégance jusqu’à me dire « Voici l’argent du pack mais pas la peine de me l’envoyer, je n’en veux pas, tes livres je les ai déjà » … À ce compte-là, j’eusse préféré qu’elle m’en commande 3 ou 4 ou même 15, mais je n’ai pas osé réclamer, c’eût été de l’abus. Je me contiens toujours quand je sens que j’abuse, je suis un gentleman.
Je reparlerai bientôt du monstre sur le point de s’échapper du Tiroir, qui en déforme déjà les battants à coups de boutoir… En attendant, ayons une pensée pour le livre qui y retourne à jamais : notre grande promo d’automne a eu pour effet collatéral d’épuiser définitivement le tout premier livre qui, en 2008, fut orné du logo Tiroir-qui-vole : L’Échoppe enténébrée, récits incontestables.
Adieu, adieu ! Adieu livre de rêve, rêve de livre, adieu prime aventure ! Je t’aime mais ne te réimprimerai jamais ! L’argent se fait si rare qu’il est jalousement réservé aux caprices nouveaux, crèvent les vieilles lunes !
Coïncidence : le jour où je fais le deuil de ce petit volume dont la couleur de couverture fut choisie in extremis, la veille de l’impression, en référence subliminale à la « chambre rouge » de Twin Peaks, endroit secret où les rêves révèlent la vérité, j’apprends le retour prochain de la série matricielle et hallucinogène…
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